
Jason était un homme extrêmement accompli : il jouait au football professionnel, entraînait des équipes professionnelles en Europe, entraînait la jeune Christine Sinclair, possédait sa propre équipe de course automobile CART pour laquelle il courait. Une rencontre avec un journaliste du Globe and Mail lors de sa deuxième mission en Afghanistan aurait été le catalyseur qui lui a permis d’obtenir le soutien nécessaire pour faire venir des interprètes afghans au Canada, un programme que l’un de ses camarades de l’armée continue de soutenir aujourd’hui. Les démons de Jason l’ont consumé.